Suivis de chantiers.
L’activité de suivis de chantiers bat son plein en cette saison.
Nous continuons depuis décembre 2019 à suivre notre chantier de rénovation de toitures sur le CHU d’Angers. Nous évoluons à quelques mètres de l’hélistation. Ce qui met un peu de piments à ce suivi. Vous trouverez un lien vers un petit film vous faisant découvrir certains aspects du métier d’étancheur.
Nous avons également été en Vendée, et plus précisément à Rocherservière, pour des prises de vues pour le compte d’un de nos clients. Celui-ci concerne la création d’un dépôt de bus.
RN 165-
Et, nous assurons depuis quelques mois le suivi de l’extension de la RN 165 et son passage à 4 voies pour la société Guintoli, filiale du groupe NGE.
Les travaux consistent à passer de 2 voies à 3 voies puis 4 voies la RN 165 dans le sens Vannes-ST Nazaire vers Nantes – et la bretelle d’accès, la bifurcation à la RN444.
Nous arpentons donc ce chantier long de 2 kilomètres environ. Prises de vues par drone et au sol depuis le terre-plein central (le fameux TPC) et les abords du chantier.
Les travaux commencés en mai 2020 devraient s’achever au mois d’avril 2021. La période Covid -19 et les intempéries auront certainement un impact sur la durée du chantier.
Nous suivons donc par phase, l’évolution des travaux, et les différents aménagements qui y sont réalisés.
Photographies de chantiers.
Nous sommes des spécialistes de la mise en valeur de vos métiers, de vos activités. Nous comprenons vos contraintes. Du chantier TP à l’étanchéité et l’enveloppe des bâtiments, nous savons de quoi vous parlez.
Ces hommes en orange.
Comme tout le monde, nous avons pu voir ses hommes en orange travailler sur abords des routes et autoroutes.
En ces temps, plus compliqués qu’à l’accoutumée, force est de constater que les conditions de travail de ces hommes sont parfois difficiles. Le mois de Juin a été très chaud. Les hommes travaillent avec les EPI (casques, gants, protections) et de surcroît avec un masque. La sécurité des hommes est mise en avant. Sur la base vie, les consignes, concernant la distanciation sociale, le port du masque, le lavage fréquent des mains, et chemins de circulations sont suivies à la lettre et très explicites.
Nous n’avions jamais mis les pieds dans un terre plein central. Alors que la circulation bat son plein, que les départs en vacances s’enchainent, on est surpris. Au sol, au milieu des véhicules, on se rend compte de la vitesse excessive des usagers de la route, de leurs comportements (sans commentaire).
Ces hommes risquent leurs vies pour aménager nos routes. La vitesse est réduite à 70KM/h en zone travaux afin de sécuriser les lieux et protéger les hommes et usagers. Et puisque cette limite n’est jamais respectée, un radar de chantier est installé pendant la durée des travaux.
Un effort, s’il vous plaît, ralentissez !
La ville et sa périphérie se transforment.
Nous avions suivi le mois dernier la rénovation des plateaux spaghettis pour le compte de la société Esvia. (Cf article).
Au début provisoire, l’aménagement des pistes cyclables se pérennisent. En effet, les conséquences de la période écoulée sont nombreuses. Et le comportement des ligériens, et plus précisément des nantais évoluent. Beaucoup ont délaissé les transports en commun, et retrouvent les joies de la petite reine. D’autres, ont repris leur voiture. La tendance actuelle que l’on retrouve dans les métropoles françaises, nous amène plutôt à penser que la voiture sera d’ici peu exclue, ou limitée dans nos centre-villes.
Le contraste est donc fort, entre les différentes couronnes de la ville qui n’ont cessent de s’agrandir, et la piétonnisation du centre. L’hyper-centre s’oriente vers des mobilités plus douces.
Nous suivons donc en parallèle deux chantiers. L’un, sur les voies cyclables, et l’autre sur le passage à 4 voies de la RN 165.
Nos façons de vivre évoluent. Beaucoup ont choisi les charmes de la campagne, et travaillent désormais en ville. Il faut donc permettre à des milliers de véhicules d’accéder au centre. Et d’un autre côté, la ville réduit l’espace consacré aux voitures pour se tourner vers des mobilités plus souples et moins polluantes.
Toutefois, il va bien falloir parquer et garer tous ces véhicules aux portes de la ville. On attend donc, de voir se monter des parkings silos en périphérie. Nous sommes prêts à faire des suivis de chantiers, et capter depuis les airs et le sol l’évolution des métropoles.