Cette semaine, nous sommes en mode « instructeur ».
Et oui, comme depuis 2016, nous changeons au rythme d’une à deux semaines par mois de casquette, pour emprunter l’uniforme d’instructeur.
Sur cette sessions, pas moins de 8 élèves, auxquels nous enseignons la réglementation, la préparation de mission, ainsi que le pilotage.
Le tout, en jonglant avec des conditions météorologiques parfois peu favorables.
Mais, comme à notre habitude, à la fin de la semaine, le contrat sera rempli. Les élèves, fins prêts, pour se lancer et évoluer dans les airs.
Nous avons formés de nombreux apprentis pilotes, issus de tous horizons. De la reconversion, à la formation pratique, ou encore l’acquisition d’un nouvel outil.
Piloter un drone fût, il y a encore peu, un métier. Droniste, droneur, télé-pilote. C’est aujourd’hui, à notre avis, juste un outil complémentaire et supplémentaire. Pour un caméraman, c’est une caméra qui vole. Pour d’autres, il s’agit du moyen le plus efficace pour approcher d’une zone dangereuse. Un feu, une zone sinistrée ou amiantée. Cela permet à des chercheurs analysant le trait de côte de pouvoir modéliser une plage.
Le drone, devient aujourd’hui et de plus en plus, une aide terrain concrète.
Mais pourquoi passer en mode instructeur ?
Parce que, pour un centre de formation, avoir dans ses rangs, un pilote expérimenté, et surtout qui reste en contact avec le terrain. Ici, des exemples des prestations que nous réalisons. Le fait d’être au quotidien sur le terrain, de faire chaque semaine des cas pratiques, nous permet de mieux former les élèves, et de répondre de manière concrète à leurs attentes.